Liste des participants au symposium Ottawa 2014
- Gilles Bibeau, Professeur émérite, Département d’anthropologie, Université de Montréal. A mené plusieurs recherches au Canada et ailleurs. Au Québec, quelques-unes auprès de populations marginalisées : les gangs de rue, les consommateurs de drogues injectables dans un quartier défavorisé de Montréal, le suicide chez les jeunes Atikamekw de Wemotaci.
- Caroline Caron, professeure au Département des sciences sociales de l’Université du Québec en Outaouais. Elle mène depuis dix ans des recherches sur les rapports complexes entre les adolescents, les médias et la société. Recourant principalement aux méthodes qualitatives et à l’approche de la théorisation ancrée, Caroline Caron travaille sur les espaces publics alternatifs créés par et pour les jeunes, tels les médias alternatifs (youth media) et les espace de communication en ligne.
- Martin Chartrand, Titulaire d’une maîtrise en service social, j’étudie présentement à l’Université de Montréal en vue de l’obtention d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en santé mentale. Je suis intervenant ressource au volet Belvédère à Vallée Jeunesse (ressource d’hébergement pour les jeunes 16-20 ans à au haut risque d’itinérance en Outaouais). En plus d’agir comme intervenant auprès des jeunes, j’assure la gestion (administration et ressources humaines) de la ressource et en effectue la supervision clinique. Je suis également vice-président du conseil d’administration du Collectif régional de lutte à l’itinérance de l’Outaouais (CRIO). Le CRIO se veut un lieu d’action et de concertation dans le but de contrer l’itinérance. La défense des droits humains est un de ses principaux volets. Mes intérêts de recherche sont : Adolescents et jeunes adultes, la délinquance chez les jeunes, l’itinérance chez les jeunes la santé mentale chez les jeunes et les interventions alternatives.
- Patrick Cloos, Professeur au département de travail social de l’université de Montréal. Son champ d’intérêts englobe l’anthropologie de la santé et la sociologie de la santé publique. Ceux-ci découlent tant de ses expériences professionnelles que de sa formation interdisciplinaire – médecine, santé publique et sciences humaines/sociales. Il s’intéresse tant aux expériences des personnes qu’à la médecine et la santé publique comme pratiques et pouvoirs. Il porte également un intérêt pour le processus d’immigration et pour la médicalisation des personnes âgées institutionnalisées.
- Geneviève Dubois-Flynn, PhD Instituts de recherche en santé du Canada, Gestionnaire des stratégies d’éthique. Geneviève a une formation en droit et en philosophie. Après avoir enseigné plusieurs cours à l’Université d’Ottawa, dont en bioéthique, Geneviève s’est jointe au Conseil national d’éthique en recherche chez l’humain ; elle était responsable des activités d’évaluation et a participé à plus de vingt-cinq visites d’établissements de recherche canadiens, universités et hôpitaux. Aux IRSC, Geneviève a œuvré tout particulièrement dans les domaines de gouvernance de l’éthique en recherche chez l’humain, la recherche avec les peuples autochtones, les enjeux de conflits d’intérêt et de commercialisation. Geneviève a siégé sur plusieurs comités d’éthique de la recherche dont ceux de l’Université d’Ottawa en sciences sociales, sciences de la santé, et plus récemment celui de HealthBridge pour les projets en santé mondiale.
- Stéphanie Garneau, Sociologue de formation, professeure à l’école de service social de l’Université d’Ottawa. Ses recherches s’intéressent aux politiques publiques de l’enseignement supérieur, aux parcours scolaires, ainsi qu’aux mobilités nationales et internationales. D’inspiration interactionniste et réalisés dans une démarche ethnographique, ses travaux traitent plus particulièrement des conditions de maintien et de rupture des relations sociales et familiales transnationales des migrants, de leurs processus d’insertion sociale et professionnelle au Canada et des effets sur les pays d’origine. Elle travaille également sur les modalités de production des connaissances et leurs enjeux pour l’intervention interculturelle et le service social international.
- Karine Gentelet, Karine Gentelet (Ph. D., Université de Montréal) est rattachée au CRDP à titre de coordonnatrice de 2 grands projets de recherche d¹envergure (GTRC) « Vers une cyberjustice » et « Peuples autochtones et gouvernance », projet pour lequel elle est également chercheure associée. Ses sujets de recherche ainsi que ses publications portent sur les représentations et le discours concernant la reconnaissance des droits politiques des Peuples autochtones au Canada à travers une approche de sociologie et d¹anthropologie du droit.
- Hélène Laperrière, Professeure en sciences infirmières, s’intéresse depuis plusieurs années aux méthodologies de recherche participative. Elle a conduit des recherches auprès de groupes marginalisés au Canada et au Brésil.
- Nathalie Mondain, Professeure au département de sociologie et anthropologie de l’Université d’Ottawa. Démographe et sociologue de formation, elle mène depuis 2004 ses recherches en Afrique de l’Ouest s’intéressant à divers enjeux de population. Il s’agit notamment des dynamiques familiales et des questions de santé reproductive; de la migration internationale et circulaire et de ses impacts sur les rapports sociaux au niveau local ou dans le pays d’accueil; depuis ces dernières années son intérêt porte également sur les dimensions méthodologiques et éthiques des pratiques de recherche telles qu’appliquées dans des contextes de populations vulnérables.
- Nathalie Morin, anthropologue, chargée de cours, département des sciences infirmières, UQTR. Elle a collaboré à des recherches en milieu autochtone portant sur le suicide chez les jeunes.
- Lilian Negura, Docteur en sociologie de l’Université Laval et diplômé en psychologie sociale, Lilian Negura est professeur à l’École de service social de l’Université d’Ottawa. Son domaine de compétence englobe les problématiques de la santé et du travail dans la perspective théorique des représentations sociales initiée par Serge Moscovici (1976). Ses intérêts de recherche portent sur le rôle des représentations sociales dans le rapport entre les professionnels de santé et les usagers des services sociaux, ainsi que sur la dimension représentationnelle des changements dans le monde du travail.
- Valérie Ouedraogo, Travailleuse/Pédagogue sociale de formation et titulaire d’un doctorat en pédagogie sociale, les recherches de S. Valérie Ouédraogo portent sur les migrations de travail. Elle utilise des méthodes qualitatives pour étudier les vécus, les perspectives migratoires et d’intégration des immigrant(e)s. Dans ses recherches, elle emprunte un processus d’analyses interprétatives pour comprendre les stratégies de vies migratoires qu’elle questionne avec l’œil et le sens de l’intervenant social afin de mieux les cerner. S. Valérie Ouédraogo travaille actuellement sur un projet de recherches qui portent sur l’intégration professionnelle des immigrant(e)s qualifié(e)s travaillant dans le domaine de la santé en Allemagne et au Canada.
- Florence Piron, Professeure, Département de communication, Université Laval. Philosophe et anthropologue de formation, Florence Piron aime l’enquête, à l’écoute des acteurs dans leur singularité. Elle croit à l’apport réciproque de la recherche action et de la recherche fondamentale, l’une nourrissant l’autre. Inductive, intuitive, indisciplinée, elle résiste à la prétention de l’expertise, et signe.
- Gabriel Ramsay Je travaille dans le domaine des services sociaux depuis 2001 comme intervenant en santé mentale auprès des jeunes et comme agent de développement communautaire. Mes études multidisciplinaires en service social, étude de l’environnement puis en géographie m’ont fortement influencé à intégrer des approches de gestion holistique qui favorisent l’accommodement des forces des employés et partenaires, en plus d’encourager la collaboration des gouvernements, des services communautaires et du secteur privé. Les milieux communautaires m’inspirent beaucoup, car c’est de la passion que les projets se réalisent. Mes expériences de recherche incluent l’organisation communautaire avec la Ville d’Ottawa, les déterminants sociaux de la santé chez les enfants de 9 à 12ans avec L’Association Canadienne pour les Nations Unis et la santé mentale avec le Centre Hospitalier pour Enfants de l’Est de l’Ontario.
- Valery Ridde est professeur agrégé à l’Université de Montréal au département de médecine sociale et préventive. Son programme de recherche en santé des populations s’inscrit dans le champ de la recherche évaluative sur l’équité en santé et les interventions. Il s’agit précisément d’évaluer des interventions dans le but de produire des connaissances sur la manière de réduire les iniquités, notamment celles qui concernent l’accès aux services de santé. Le contexte de ce programme est la santé mondiale.
- Jacynthe Rivard, Jacinthe Rivard est coordonnatrice de recherche et chargée de cours à l’Université de Montréal, École de service social. Titulaire d’un doctorat, elle travaille en collaboration avec Céline Bellot depuis 2002. Ses travaux s’intéressent aux interventions et aux stratégies de recherche alternatives et participatives qui s’adressent à des groupes de personnes vulnérables ou marginalisées, à l’échelle locale comme internationale
- Paul Sabourin est professeur titulaire au département de sociologie de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur la sociologie des pratiques et des formes de connaissance de l’économie. Dans ce cadre, il a fait des recherches sur des entreprises privées et d’État, sur les pratiques d’aide alimentaire au Québec et la pauvreté vécue dans différents milieux sociaux.
- Nérée Saint-Amand, Professeur à l’École de service social, très près des communautés marginalisées, développe depuis de nombreuses années une approche structurelle dans ses travaux et ses enseignements, en plus de s’intéresser à la francophonie en contexte minoritaire.
- Cintia Maura Jorge Soares, actuellement, stagiaire postdoctorale en santé mentale à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Ph.D en sciences humaines appliquée (UdeM /2010). Infirmière à l’Universidade Federal do Pará (UFPA) au Brésil en tant que spécialiste de Santé Publique (UFPA) et en santé des femmes (FIOCRUZ- IFF- RJ). Elle mène ses recherches avec une approche qualitative.
- Marguerite Soulière, Marguerite Soulière est anthropologue de formation et professeure à l’École de service social de l’Université d’Ottawa. Ses intérêts de recherche sont les événements des cycles de vie, principalement la naissance et l’adolescence (garçons et relations entre adolescentEs), et aussi la ménopause. Prenant appui sur un cadre conceptuel qui articule les approches critiques et interprétatives de l’anthropologie médicale, ses travaux ont cherché à la fois à documenter les contextes sociopolitiques et économiques dans lesquels sont produits les discours dominants et à comprendre de l’intérieur ce que vivent les personnes, l’interprétation qu’elles en font et le sens qu’elles leur donnent. Cette perspective de recherche l’a amenée à développer une dimension participative dans l’élaboration de ses projets actuels, qui portent sur les relations entre les adolescents et sur l’évaluation (participative) de projets d’intervention auprès de jeunes.
- Karoline Truchon, Chercheure postdoctorale, Centre d’histoire orale et de récits numérisés, Université Concordia de Montréal. Ses recherches (communauté Innu de la Côte-Nord, résidents d’habitations sociales à Montréal et personnes sans papier en France, notamment) sont réalisées dans une perspective de recherche impliquée, critique et théorisée avec des méthodologies participatives audio-visuelles.
- David Welch, Professeur à l’École de service social et chercheur engagé, il travaille en étroite collaboration avec les communautés autochtones en plus de se dédier à la défense des droits des minorités francophones. Il s’intéresse aussi à l’alimentation et l’agriculture.
- Ricardo Zuniga, Professeur à temps partiel au département de service social de l’Université de Montréal. Il est expert en recherche et en évaluation participative. Doctorants (
- Wendyam Amhed, doctorant, École de service social, Université d’Ottawa. Il s’intéresse aux logiques et les pratiques dans les associations et organisations féminines du plateau central au Burkina Faso.
- Magalie Benoit, Étudiante à la maîtrise en santé communautaire. Recherche participative avec les immigrants au statut précair
- Catherine Flynn, doctorante aux universités de Montréal/Université McGill. Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmes (CRI-VIFF), de l’Université Laval. Dans le cadre de son projet doctoral elle réalise actuellement une recherche-action participative avec des jeunes femmes de la Maison Dauphine (ressources pour les jeunes de la rue). Cette étude s’inscrit dans une approche structurelle et différentes activités de dénonciation sont prévues.
- Hayat Ghazal, Doctorante, École de service social, Université d’Ottawa. Elle travaille sur les parcours des jeunes en transition à l’âge adulte.
- Kadio Kadidiatou, Doctorant en sciences humaines appliquées (SHA) à l’Université de Montréal. Elle s’intéresse aux questions liées à la protection sociale en santé des pauvres (accès aux services de santé, renforcement du pouvoir d’agir des femmes) ; notamment à l’analyse des processus de mise en œuvre des politiques et programmes tout comme à la contribution des preuves scientifiques pour la formulation des politiques et programmes de protection sociale équitables.
- Sylvie Lirette doctorante, École de service social. Son projet de thèse a pour titre : « Entre discours et vécus d’insertion professionnelle: trajectoires de personnes ayant une incapacité visuelle vivant au Nouveau-Brunswick ».
- Thais M. de Carvalho Otanari, Doctorante à l’École de Service social à l’UdeM. Sa thèse porte sur la participation d’usagers de services en Santé mentale dans les processus de production de connaissances.
- Jean-Luc Pinard, Doctorant, École de service social, Université d’Ottawa. Travailleur communautaire pendant plus de vingt ans en défense de droits des personnes psychiatrisées. Titre du projet de thèse : «Désinstitutionnaliser la désinstitutionalisation? Comment conquérir des espaces de liberté hors du champ de la psychiatrie institutionnelle? Défis et contraintes de la vie quotidienne des personnes psychiatrisées chez la population francophone du Nouveau-Brunswick ».
- Pasto B. Wann, Gestionnaire du Centre de recherche, CSSS Gatineau. M. Wann est détenteur d’une maîtrise en sciences biomédicales de l’Université de Montréal et d’un PhD en sciences biomédicales, option sciences psychiatriques de la même Université. Il a développé, durant son doctorat, le premier modèle animal de la dépression post infarctus du myocarde. Ce modèle nous permet, entre autres, de mieux comprendre cette comorbidité. Il est également détenteur d’un postdoctoral en neurosciences de l’Université de Carleton (Ottawa).
- Cinira Magali Fortuna, Professeure en sciences infirmières, Nupesco, Université de Sao Paulo à Ribeiro Preto (Brésil). Elle développe des recherches avec des équipes de santé prises dans des problématiques institutionnelles souvent complexes. Dans ses travaux l’articulation est forte entre la formation et la recherche.
- Solange L’Abbate, Sociologue et professeure titulaire honoraire au Département de Santé Collective à la Faculté de Sciences Médicales de l’Université de Campinas. Elle est l’une des principales figures de la Santé collective au Brésil. Elle est l’une des rares sociologues enseignant en faculté de médecine. Forte de ses nombreux travaux de recherche intervention dans le domaine sanitaire, elle anime le réseau de recherche brésilien “Santé collective et analyse institutionnelle”.
- Lucia Mourao, Professeure de santé collective, Institut de Santé collective, UFF- Université Fédérale Fluminense. Elle consacre ses travaux à l’analyse interne des effets des transformations institutionnelles des modalités de formation des personnels soignants sur les pratiques des formateurs.
- Maria-Livia do Nascimento, Professeure titulaire, Département de psychologie, UFF -Université Fédérale Fluminense (Brésil). Elle développe des travaux de recherche-intervention auprès de dispositifs comme les Conseils des tutelles. Pour ce faire, elle construit avec les équipes de professionnels et ses étudiants des coopérations qui allient réflexivité sur les enjeux de la pratique professionnelle et production de savoirs académiques.
- Izabel Passos, Professeure de psychologie, Université Fédérale du Minas Gerais, Laboratoire LAGIR. Elle travaille sur l’histoire de la psychothérapie institutionnelle et mène des travaux de recherche action.
- Claudia Penido, Professeure de psychologie et Docteure en Sciences infirmières de l’Université Fédérale Du Minas Gerais. Son expérience professionnelle et ses recherches concernent les dispositifs d’attention primaire en santé mentale et l’appui apporté aux équipes de terrain.
- Roberta Romagnoli, Professeure en psychologie, Université Pontificale du Minas Gerais (Brésil). Elle conduit des recherches-interventions auprès de structures de la santé et du travail social. Elle combine les approches psychologique et institutionnelle pour saisir, avec ses partenaires de terrain, les enjeux individuels et institutionnels de leurs pratiques professionnelles.
- Carla Spagnol, Professeure en sciences infirmières, UFMG- Université Fédérale Fluminense. Elle travaille dans une perspective socianalytique sur le fonctionnement des équipes soignantes en milieu hospitalier, en particulier sur l’analyse des conflits au sein de celles-ci.
- Núncio Antônio Araújo Sól, Médecin, Docteur en Santé Collective de l’Unicamp (Université de Campinas), Professeur à l’Université Fédérale d’Ouro Preto, Etat de Minas Gerais. Sa recherche doctorale portait sur l’analyse institutionnelle socio-historique de trois programmes de spécialisation en médecine générale communautaire, mouvement qui a participé à la réforme sanitaire brésilienne et a développé les bases politiques et idéologiques de l’actuel système de santé au Brésil. La recherche a été menée avec les participants de ces trois programmes.
- Silvia Tedesco, Professeure titulaire, Département de psychologie, UFF- Université fédérale Fluminense (Brésil). Elle a conduit des travaux de type recherche-intervention auprès de structures prenant en charge des adolescents toxicomanes en milieu urbain.
- Railander Quintão de Figueiredo, travaille dans le secteur de la santé mentale, le Secrétariat des droits de l’homme de la présidence du Brésil. Il est un chercheur de l’Observatoire national des prisons et étudiant au doctorat en psychologie à l’Universidade Federal Fluminense.
- Rosana Aparecida Garcia, Doctorante en Santé collective, faculté de Sciences médicales de l’Université d’État de Campinas. Rosana est infirmière et travaille dans le réseau de Santé Publique à Campinas. Le sujet de sa thèse est sur la Trajectoire de la Surveillance Sanitaire à Campinas dans la perspective socio-historique.
- Flávio Adriano Borges Melo, Doctorant en soins infirmiers en santé publique, Université de Sao Paolo, site de Ribeirao Preto. Il travaille sur le management démocratique (co-gestion du travail) en Santé de la famille et utilise la recherche-intervention comme permettant un apprentissage « avec ». Il développe des dispositifs pour assurer la participation de tous en gestion du service.
- Daisy Queiroz, Professeur à la Faculté de Philosophie, Sciences et Lettres de l’Université Macaé/Rio de Janeiro. Doctorante en psychologie à l’Université Fédérale Fluminense. Elle travaille sur le rapport des enfants à la littérature en accompagnant des expériences pédagogiques.
- Fabiana Ribeiro Santana, Doctrante en soins infirmiers, Université de Sao Paolo, site de Ribeirao Preto. Elle travaille sur la promotion de la santé et la prévention des maladies dans la formation professionnelle de l’infirmier-projet de recherche socio-clinique (France-Brésil)
- Ana Kalliny de Sousa Severo, Doctorante en Santé collective, faculté de Sciences médicales de l’Université d’État de Campinas. Ana Kalliny est psychologue et est professeur dans une université privée dans la ville de Natal, capitale d’État de Rio Grande de Norte. Le sujet de sa thèse est une analyse de supervision clinique-institutionnelle qu’elle a fait auprès des professionnels de santé.
- Maria-José Garcia-Oramas, Professeure de psychologie, Groupe de Recherche: Processus Psychosociaux dans les groupes et les institutions, Université de Veracruz (Mexique). Elle conduit des travaux de terrain, de type psychosociologique portant sur la violence dans les institutions éducatives, en particulier dans les rapports de genre. Elle construit ainsi, dans le contexte mexicain, des dispositifs de recherche en partenariat avec les acteurs de terrain.
- Mikael Lomelin Benchetrit, Étudiant de master en sciences sociales, il s’inspire de la clinique psychanalytique pour mener une recherche auprès d’une communauté paysanne.
- Patricia Alonso, Maitre de conférences en Sciences de l’éducation, Laboratoire FRED, Université de Limoges. Elle a travaillé sur les itinéraires biographiques des adolescents et en particulier sur la construction des identités de genre. Pour cela, elle a construit un dispositif de recherche avec des adolescents qu’elle a rencontrés régulièrement durant plusieurs années. Actuellement elle travaille sur les questions que soulèvent la parentalité et les relations parents- institutions éducatives et sociales.
- Valérie Becquet, Maitre de conférences en Sociologie à l’Université de Cergy-Pontoise, HDR en Sciences de l’éducation, laboratoire EMA. Ses travaux portent sur l’engagement des jeunes en milieux scolaire et associatif. Elle a mené de nombreuses recherches avec des acteurs de l’Éducation populaire.
- Séverine Colinet, Maitre de conférences en Sciences de l’éducation à l’Université de Cergy-Pontoise, laboratoire EMA. Elle travaille sur l’évolution des pratiques professionnelles en transversalité entre éducation, santé et social.
- Arnaud Dubois, Maître de conférences en sciences de l’éducation, EMA, Université de Cergy-Pontoise. Il a développé un dispositif original d’analyse des pratiques professionnelles, faisant place à l’écriture de monographies par les praticiens selon une clinique d’orientation psychanalytique.
- Philippe Lyet, docteur en sociologie et en sciences de l’éducation de l’Université Paris 10 Nanterre. Il conduit des recherches sur l’organisation et sur les collaborations entre les acteurs de l’action sociale ainsi que sur les évolutions dans la mise en œuvre des politiques sociales. Il travaille depuis plusieurs années sur la question des recherches actions collaboratives et a été le coordinateur scientifique du colloque international sur ce thème à Dijon en mai 2013. Il est le responsable du centre de recherche et d’études en action sociale de l’école supérieure de travail social à Paris.
- Gilles Monceau, Professeur des universités en Sciences de l’éducation, Laboratoire EMA, Université de Cergy Pontoise. Il s’intéresse aux pratiques et aux politiques de la parentalité après avoir travaillé sur les processus de déscolarisation et les phénomènes de violence en milieu éducatif. Il développe une approche socio-clinique institutionnelle dans laquelle les demandes d’analyse exprimées par les acteurs de terrain constituent l’élément initial de la recherche.
- Sébastien Pesce, Maître de conférences en Sciences de l’éducation, EMA, Université de Cergy-Pontoise. Spécialiste de pédagogie institutionnelle, il mène des recherches sur sa mise en œuvre dans divers contextes d’éducation et de formation.
- Bruno Robbes, Maître de conférences en Sciences de l’éducation, EMA, Université de Cergy-Pontoise. Ses travaux sur l’autorité en pédagogie font référence dans le milieu enseignant. Il travaille avec des praticiens à la construction d’outils de formation concernant la gestion de classe et la prévention de la violence.
- Anna Rurka, Maitre de conférences en Sciences de l’éducation, CREF, Université Nanterre Paris Ouest la Défense. Initialement pédagogue sociale de formation en Pologne, poursuit des travaux dans le domaine de l’intervention sociale et de la recherche en éducation familiale en France avec une dimension de comparaison internationale.
- Dominique Samson, Docteure en Éducation, ingénieure de recherche, EMA, Université de Cergy-Pontoise. Ses travaux portent sur les rapports entre écriture et institution, en particulier dans le champ de la formation professionnelle. Elle travaille tout particulièrement le concept d’implication dans le cadre de l’analyse institutionnelle.
- Bernadette Tillard, Médecin, Anthropologue et Professeure de sociologie, UMR CLERSEE, Université de Lille 1. Elle est spécialiste en éducation familiale, en particulier des relations entre familles populaires et institutions sanitaires et sociales. Elle s’intéresse aux questions méthodologiques dans ses publications.
- Manuel González Carpanetti, Doctorant en Sciences de l’éducation à l’Université de Cergy-Pontoise, EMA. Il interroge la pratique et les outils des consultants qui, pour le compte d’une agence habilitée par le gouvernement chilien, accompagnent et certifient les établissements scolaires dans leur démarche qualité.
- Virginie Dufournet, Enseignante, Doctorante en Sciences de l’éducation à l’Université de Cergy-Pontoise, EMA. Sa recherche portant sur les modalités de scolarisation des « enfants du voyage ». Celles-ci étant dépendantes de variations institutionnelles et politiques.
- Elodie Fressinel-Mesquita, Doctorante au FRED, elle mène une recherche collaborative en Corrèze (département du Limousin) en partenariat avec le PREFASS (Pôle ressource étude formation action sanitaire et social) concernant l’habitat social.
- Maïté Laflaquière. Doctorante au FRED, entreprend une recherche qui débute sur la parentalité dont le commanditaire est la CAF (caisse d’allocation familiale du département). Cette commande a fait l’objet d’une convention entre le PREFASS, la CAF et ses différents partenaires.
- Anne Pilotti, Masseur Kinésithérapeute et Doctorante en Sciences de l’éducation à l’Université de Cergy-Pontoise, EMA. Elle mène une recherche sur l’usage du courrier électronique en milieu hospitalier. Elle analyse la manière dont cet outil technique influe sur les pratiques et les implications professionnelles des soignants.
- Corinne Rougerie, Coordinatrice du Pôle de Recherche Formation en Action Sociale et Santé du Limousin, Doctorante en Sciences de l’éducation à l’Université de Cergy-Pontoise, laboratoire EMA. Elle travaille auprès de professionnels, exprimant une « souffrance au travail » dans la relation aux usagers d’un Centre Communal d’Action Sociale.
- Claire de Saint Martin, Enseignante et Doctorante en Sciences de l’éducation à l’Université de Cergy-Pontoise, EMA. Elle étudie la manière dont les élèves de Classe d’inclusion scolaire expriment la perception qu’ils ont de leur place dans l’institution scolaire en construisant des dispositifs de type socio-cliniques.
- Silvia Valentim, Formatrice en travail social, Doctorante en Sciences de l’éducation à l’Université de Cergy-Pontoise, EMA. Elle mène (en co-tutelle avec l’Université Fédérale Fluminense de Niteroï, Brésil) une recherche croisée en France et au Brésil afin de saisir les effets des transformations institutionnelles (privatisation, étatisation, municipalisation…) du secteur de la petite enfance sur les pratiques et la subjectivité des professionnels.